Franck Gozé : Nous sommes les plus heureux lorsque les autres le sont

Oui, à Youth j'ai appris à maîtriser ma colère, à Youth j'ai appris à aimer et à respecter tout le monde sans distinction d'âge ni de sexe, à Youth j'ai appris à donner aux autres sans attendre quelques choses en retour.

Avant Youth, je croyais que l'essentiel pour aider les autres était d'avoir une fortune. Avec Youth, j'ai compris qu'une présence, un mot ou un sourire étaient plus important; le tout c'est d'avoir l'amour du prochain et la volonté de donner sans attendre en retour.

Courage, n'abandonnons jamais, au bout de l'effort il y'a la récompense..., travaillons avec abnégation et sans relâche...

M'investir pour les autres à travers Youth Institution est la meilleure décision que j'ai prise. Aujourd'hui, ma vie a un sens, je me sens utile pour mon pays et pour l'afrique.

Youth est ma famille de coeur car elle m'a appris le don de soi sans condition, de plus toutes les idées comptent donc je me fais plus confiance. Je suis fière d'être Youtheuse.

Ne jamais abandonner quelques soit les obstacles, toujours se relever et aller de l'avant.

Je vois Youth comme une grande Organisation, qui sera pour les autres institutions un exemple, un modèle, une référence; l'institution qui fera la différence par sa singularité; et j'entends me donner corps et âme avec l'aide de tous pour que nous puissions y arriver.

Très sincèrement, le projet youth me tiens à cœur et j'y pense tous les jours. C'est très compliqué de jongler entre le boulot, la famille et les réunions où préoccupations de youth, mais tout est une question d'organisation, d'amour et de volonté.

Mon aventure à youth institution demeure aujourd'hui l'une des meilleures choses qui me soit arrivée de ma vie, certes elle m'a permis de me redécouvrir mais surtout de manifester mon amour pour Dieu à travers le don de soi.

Avant j'étais beaucoup solitaire, intégrer l'organisation youth Institution for éducation m'a permis d'apprendre à travailler en équipe et voir le contact facile.

Être conscients de nos valeurs et nos compétences. Être responsable afin de pouvoir se prendre en charge.

J'ai appris à me surpasser et être plus disciplinée car je suis consciente que mes membres agissent en fonction de mon comportement. J'essaie de m'efforcer à être un exemple. Mon leadership s'est réveillé avec youth institution for éducation.

La jeunesse passe, mais les actes demeurent, assurons nous de poser les gestes qu’il faut afin d’impacter positivement notre génération ,nous faisons notre part avec Youth for Education.

Nous sommes une famille qui lutte pour une cause noble. Cependant seule ou accompagnée je serai toujours youth. engagée , disponible et déterminée.

Mon rêve est d'avoir une Institution à travers laquelle nous pourrions révolutionner ce monde  par le changement de mentalité.

Je veux donner la meilleure version de moi à ce projet. Je pense que lorsqu'on fait une bonne action, on n'a pas besoin de retour, la loi de la compensation s'en chargera. J'aimerais donner du bonheur à grande échelle avec Youth institution for éducation.

Mon leitmotiv c'est le changement de mentalité, la prise de conscience collective par notre jeunesse de ses potentialités afin de prendre en main son avenir.

La vie est comparable à un jeu de puzzle dans lequel chaque jeune doit savoir placer sa pièce afin d'aboutir à un monde meilleur.

Nous sommes comme les 3 bonshommes sur notre logo car peu importe les intempéries, nous restons toujours ensemble avec la même détermination et le regard fixé sur l'avenir.

Une avancée, un changement, avant Youth j'étais centré sur ma personne, après Youth c'est plus pour les autres pas forcément pour moi, j'ai développé le don de soi. Mes motivations sont les suivantes: refus de la médiocrité, remettre à bien l'image du jeune africain, le don de soi.

J'ai un sentiment de devoir accompli quand je sers les autres. Comme le Colibri je fais ma part pour une génération plus consciente et engagée.

Je me sens plus responsable, mes habitudes ont beaucoup changé y compris mes posts sur les réseaux sociaux, ceux qui les regardent habituellement peuvent en témoigner.